Fin d’année scolaire pour l’école d’Agroécologie et de Pâtisserie

Fin d’année scolaire pour l’école d’Agroécologie et de Pâtisserie

Après une année de formation en agroécologie et pâtisserie, suivie d’un stage de 4 mois, nos étudiants se lancent dans le monde professionnel.

En rétrospective, de septembre à mi-décembre, les étudiants ont effectué des stages pratiques pour mettre en pratique les techniques étudiées. Cela leur a procuré des compétences précieuses pour leur futur emploi.

Les étudiants ont exploré différents domaines, certains travaillant dans des fermes avec des animaux, tandis que d’autres se sont concentrés sur la culture du poivre ou le maraîchage. Les étudiants en pâtisserie ont effectué des stages dans des hôtels et des restaurants.
De nombreux étudiants ont choisi de faire leur stage dans des endroits tels que Phnom Penh, Siem Reap, Battambang et Kampot, élargissant ainsi leurs horizons.

rencontre des anciens éléves du l'école du bayon
team building école du bayon
meeting école du bayon

« Je m’appelle Loeu Sameng, j’ai 20 ans, je viens de Rotanah Kiri et je suis étudiant en troisième année à l’École d’Agroécologie de Bayon Education and Development.
Pendant mon année d’études, j’ai appris la transformation alimentaire, l’élevage et l’agriculture. Mon stage de 3 mois dans une ferme bovine à Kandal m’a apporté de nouvelles compétences dans le travail avec les vaches, le travail d’équipe, le leadership et le marketing. Merci à l’École d’Agroécologie et à Bayon Education Development ! »

rencontre des anciens éléves du l'école du bayon
team building école du bayon
meeting école du bayon

Après le stage, les étudiants ont présenté leurs rapports à un jury composé d’enseignants et de professionnels. Ensuite, lors de la cérémonie de remise des diplômes, les 20 étudiants de la promotion 2023 ont reçu fièrement leurs diplômes en agroécologie et pâtisserie.

Nous leur souhaitons tout le succès dans leur prochaine aventure !

Retour sur la rencontre annuelle des anciens élèves : un lien indéfectible avec l’École de Pâtisserie et d’Agroécologie

Retour sur la rencontre annuelle des anciens élèves : un lien indéfectible avec l’École de Pâtisserie et d’Agroécologie

Au début du mois de juillet, un événement marquant a réuni d’anciens élèves, symbole vibrant de la vitalité et de la pérennité de notre école de Pâtisserie et d’Agroécologie.

La rencontre annuelle des alumnis a rassemblé une participation impressionnante de plus d’une centaine de diplômés issus des huit promotions précédentes. Pour beaucoup d’entre eux, ce rassemblement a impliqué un voyage depuis Phnom Penh, témoignant de l’engagement continu et du lien indéfectible que nos anciens élèves entretiennent avec notre institution.

Les jours de la rencontre ont été ponctués par une variété d’activités stimulantes, des sessions de renforcement d’équipe aux jeux conviviaux, en passant par des partages de témoignages émouvants et des instants de convivialité.

Cet événement a offert une occasion privilégiée pour nos anciens élèves de dialoguer avec la promotion actuelle, de renouer avec leurs enseignants et de retrouver l’atmosphère chaleureuse de l’école qui les a formés.

rencontre des anciens éléves du l'école du bayon
team building école du bayon
meeting école du bayon

Dans le cadre de cette réunion exceptionnelle, nous avons mené des entretiens avec 102 diplômés de l’École de Pâtisserie, couvrant la période allant de 2014 jusqu’à nos jours. Les résultats de ces interviews sont riches en enseignements. En effet, 62% des diplômés continuent d’exercer dans leur domaine de formation initial, et une majorité confortable de 86% bénéficient d’un salaire suffisant pour couvrir leurs besoins quotidiens.

Ces chiffres soulignent l’efficacité de notre programme éducatif et la pertinence de la formation dispensée. De plus, le ressenti positif des anciens élèves se reflète dans les statistiques, avec 79% d’entre eux exprimant leur satisfaction à l’égard de leur formation. Encore plus remarquable, 62% ont accédé à des postes professionnels qui les comblent réellement sur le plan personnel et professionnel.

Cette rencontre annuelle a démontré que notre école continue d’inspirer, de guider et de contribuer de manière significative à l’épanouissement professionnel de nos diplômés. Nous sommes fiers de notre communauté d’alumnis et sommes impatients de continuer à partager leur parcours exemplaire avec les générations futures.

Entre partage et échanges pédagogiques à l’école d’agroécologie.

Entre partage et échanges pédagogiques à l’école d’agroécologie.

Au cours du mois de mars, nous avons eu le plaisir d’accueillir Pauline, Directrice du pôle volontariat chez Planète Urgence. Venue en tant que volontaire durant ses deux semaines de congés solidaires, elle a travaillé au sein de notre équipe pédagogique de l’école d’agroécologie.

Son rôle a été d’appuyer l’équipe des professeurs afin de diversifier leurs techniques pédagogiques comme l’animation des cours, la place du professeur et celui de l’élève. Le but étant de réussir à motiver les élèves qui se trouvent en décrochage scolaire.

Pauline a pu ainsi découvrir le Cambodge et observer les différences culturelles. Elle souligne la curiosité des élèves qui est plus présente chez les cambodgiens que les français. Les étudiant(e)s font également preuve de bienveillance et d’entraide entre eux, ce qui donne un climat favorable pour l’apprentissage. L’usage de l’autorité n’est que très peu utilisé.

Dans une volonté d’accroitre la qualité de notre enseignement, sa venue a permis d’apporter de nouvelles techniques d’évaluations avec des ateliers de construction basés sur l’intelligence collective, face à des étudiant(e)s presque adultes. Pour cela, ils ont ensemble beaucoup utilisé le photolangage avec notamment des cartes Metafox. Au début le retour sur l’exercice était timide, les étudiant(e)s faisaient face à leurs émotions et leurs sentiments, ce qui n’est pas culturel au Cambodge. Petit à petit, à force de pratique hebdomadaire, ils ont su se libérer. De plus, les cartes de coaching ont différentes significations avec la culture, ce qui amène les étudiant(e)s à aller plus loin que le sens de la carte et les pousse dans leur réflexion.

Cela laisse place à une grande créativité que l’on ne possède pas en France en termes d’enseignement. Pauline a vécu cette expérience comme une riche aventure humaine en termes d’échange et de compréhension de la culture, où il est important de poser des questions avant l’exercice afin de s’adapter aux étudiant(e)s. Elle a particulièrement aimé parler de méditation et de relaxation du corps. En effet au Cambodge, on met beaucoup de savoir-faire en application mais pas les émotions et les sentiments. Les élèves ont apprécié cette nouvelle approche.

Notre équipe pédagogique a été très ouverte à l’idée de se former davantage à la pédagogie. Elle est très contente d’avoir pu bénéficier de l’expertise de Pauline et ainsi diversifier leurs techniques d’enseignement. Ce qu’ils retiennent le plus est davantage avoir recours à la démonstration dans leurs enseignements plutôt que la théorie. Pauline et notre équipe pédagogique de l’école d’agroécologie se sont enrichies de ces partages et échanges.

Nous tenons à remercier Pauline pour son implication tout au long de son séjour.

Un partage de cultures

Un partage de cultures

« Rien ne me prédestinait à croiser le chemin de ces onze femmes »

Camille a rejoint le Bayon au mois de juin 2022 afin de travailler sur le programme Green Farming. Son projet était de renforcer les connaissances techniques de nos Farmers et de les aider à développer leurs ventes vers d’autres potentiels acheteurs comme les restaurants, hôtels et marchés de Siem Reap.

Elle revient sur son parcours après 6 mois passés aux côtés de nos Farmers.

Atelier Camille et Farmer

« Depuis longtemps maintenant je souhaite m’investir au sein d’un programme de développement international et ainsi promouvoir l’agroécologie dans le monde. Ce simple souhait s’est précisé il y a deux ans, lorsque j’ai découvert une offre de stage de l’école du Bayon : « Green Farming Project Assistant ». Ce stage reprenait tout ce que je m’imaginais faire depuis des années : du conseil en agroécologie, du suivi de production, de l’analyse de données, de la conduite d’expérimentations…

Pourquoi est-ce que je me suis lancée dans le domaine de l’agroécologie ? Parce qu’en plus de l’aspect technique et scientifique, prônant des méthodes de conservation des sols et favorisant la biodiversité dans les zones de culture, on y relie également des notions culturelles, de sociologie, de politique et d’économie. Produire selon un modèle agroécologique, c’est préserver l’environnement, mais aussi et surtout produire en faisant un compromis sur les rendements pour favoriser les conditions matérielles et sanitaires de vie des agricultrices et agriculteurs, et la durabilité de nos agroécosystèmes.

Pour l’ingénieure agronome en formation que je suis, c’était la concrétisation de cette envie de longue date, et une chance inouïe de pouvoir me former, loin de la France, à l’agriculture sous un climat tropical. Aspect auquel les écoles françaises ne nous préparent si peu.

A ce moment-là, en 2020, alors que nous étions encore en pleine crise du COVID et que la monotonie des études à distance s’installait peu à peu, cette découverte a fait naître un regain de motivation. J’ai retrouvé la raison pour laquelle je m’étais lancée dans ces études : pour travailler sur le terrain, au contact direct des producteurs et productrices dans une démarche agroécologique. L’envie de découvrir l’Asie du Sud Est et d’aller y travailler a repris le dessus.

Finalement, en juin 2022, j’arrivais sur place. Je rencontrais l’équipe qui m’a chaleureusement accueillie, Marie ma prédécesseure qui m’a transmis énormément au cours du mois que l’on a passé ensemble, et bien sûr nos Farmers, onze mamans du Bayon qui ont envie de faire bouger les choses au sein de leur pays. 

Ce dont je ne reviens toujours pas, c’est qu’à 22 ans seulement, rien ne me prédestinait à croiser le chemin de ces onze femmes. Elles ont été une rencontre extraordinaire et étonnante, elles m’ont impressionnée par leur positivisme et leur capacité de résilience hors du commun. Vivre cette expérience permet sans aucun doute de beaucoup relativiser sur sa propre situation. Elles sont toutes incroyablement généreuses, et ont envie de partager une partie de leur culture et de leurs vies. Alors même que nous ne parlons pas la même langue, elles m’ont toujours fait me sentir à l’aise avec elles, et nous avons vécu des moments très forts où nous réussissions à communiquer, même sans mots.

Camille et les farmers avant son départ

Vivre et travailler à l’étranger apportent nécessairement son lot de difficultés : il faut s’adapter à des habitudes de travail parfois différentes ou encore savoir rebondir sur certaines situations inattendues. L’expatriation engendre des hauts et des bas, mais il faut toujours se replacer dans le contexte du pays qui nous accueille. En travaillant au Cambodge, il m’est apparu important que les décisions soient prises par et dans l’intérêt des Khmer·e·s. Nous avons donc travaillé main dans la main pour mener à bien ce projet.

Je ne peux que conclure par une invitation : si vous en avez la chance, partez visiter le Cambodge et prenez le temps de vous arrêter à Angkor Wat, de passer par les campagnes et les étendues de rizières infinies dont on ne se lasse jamais, de discuter avec les gens qui ont tant à raconter, et pourquoi pas au Coffee Shop du Bayon pour un brunch bien mérité ? C’est un pays que j’ai adoré et qui m’a définitivement changée, plein de surprises et de paysages magnifiques, où tout est facile. J’y ai surtout découvert une philosophie de vie loin de nos rythmes effrénés de France, que j’espère conserver pendant longtemps : un problème trouve toujours une solution, souvent bien plus simple et bien différente de celle que l’on aurait imaginée. »

Écrit par Camille Gaume.

Un laboratoire de transformation alimentaire pour notre école d’agroécologie

Un laboratoire de transformation alimentaire pour notre école d’agroécologie

Restaurants Sans Frontières, association fondée en 2007 a pour but de favoriser une alimentation saine, dans de bonnes conditions, au sein d’écoles, d’orphelinats et centres de formation dépourvus de cuisine ou de réfectoires salubres. Leur mission est de donner à ces organisations les moyens nécessaires à la construction et l’entretien de ces structures, via le financement de projets tels que la création et la rénovation de cantines et réfectoires scolaires.

Madagascar, Haïti, Vietnam, Laos, Maroc, Restaurants Sans Frontières soutient de nombreux projets à travers le monde et notamment au Cambodge, où l’association a décidé de nous accompagner sur la rénovation de notre laboratoire de transformation alimentaire.

La présence d’un laboratoire de transformation alimentaire nous a semblé indispensable au sein de notre école d’agroécologie ouverte en 2020. En effet, l’une des bases de l’agroécologie est la diversification des espèces cultivées. Cette diversification qui intègre la culture de fruits et de légumes mais aussi d’herbes, de plantes et de fleurs est vue comme une clef pour sécuriser les revenus des agriculteurs. Et c’est cette diversité qui permet également de créer différents produits transformés.

Ainsi, pour que notre formation en agroécologie combine à la fois des cours théoriques et pratiques, la création de ce laboratoire permet à nos professeurs de réaliser des cours applicatifs sur les techniques de transformation simples et adaptées aux ressources et moyens du Cambodge.

Sur le long-terme, l’objectif de ce projet est d’assurer la pérennité de notre formation, au même titre que notre Coffee Shop de l’école de pâtisserie, qui finance aujourd’hui 50% des frais liés à cette formation. Depuis toujours, l’un de nos principaux objectifs est de parvenir à un auto-financement partiel de nos écoles :  les revenus ainsi dégagés permettront d’être directement réinjectés dans le financement de l’école d’agroécologie.

En nous soutenant sur ce projet, Restaurants Sans Frontières a permis de rénover entièrement le bâtiment dédié à ce laboratoire : isolation, régulation thermique et normes sanitaires, les travaux ont été réalisés entre avril et juillet 2021, nous permettant de compléter le programme de formation de nos élèves, notamment pour la seconde promotion arrivée fin décembre.

Aujourd’hui, notre laboratoire est utilisé par nos professeurs pour la mise en place de cours pédagogiques permettant à nos élèves de développer de nouvelles compétences. Lors de leur dernier atelier, les élèves se sont familiarisés avec la technique de fabrication du sirop et du thé, leur permettant de comprendre les processus essentiels à la transformation de nos aliments.

Ces ateliers permettent à nos étudiants de compléter leur apprentissage et leurs réflexions quant aux multiples façons de gérer sa production et la diversification des produits qu’ils peuvent proposer : du légume sorti de terre qui compose nos paniers de légumes à la confiture vendue au sein de notre Coffee Shop.

Combinés à leur stage, ces cours pratiques viennent compléter notre formation en agroécologie, garantissant à nos étudiants un réel savoir-faire et une vraie connaissance du terrain à la fin de leur année d’études !

 Nous remercions chaleureusement Restaurants Sans Frontières pour leur soutien sur ce projet.

L’association Les Enfants d’Angkor Wat : quelle est sa mission ?

L’association Les Enfants d’Angkor Wat : quelle est sa mission ?

Créée en 2012 par Dominique Roussel, l’association Les Enfants d’Angkor Wat soutient Bayon Education & Development au Cambodge, permettant à notre organisation et nos équipes locales de développer plusieurs projets, principalement liés à la question de l’éducation générale. Dominique nous explique quelle est sa mission et les raisons de son engagement.

Qu’est-ce que les « Enfants d’Angkor Wat » ?

« Les Enfants d’Angkor Wat » est une Association Loi 1901 à but non lucratif, dont la finalité est, grâce à ses donateurs, d’aider à l’éducation, au sens large du terme, des enfants cambodgiens parmi les plus pauvres.

Nous intervenons dans les domaines de la scolarité, de la santé, de la formation professionnelle.

Notre objectif est donc d’aider ces enfants, dans des contextes familiaux souvent difficiles, à accéder de façon pérenne à l’école, à construire leur avenir, à acquérir des valeurs fondatrices pour ce qui sera leur vie.

Quelles sont les grandes lignes directrices de votre projet ?

 Nos actions sont guidées par 3 principes :

  • L’école est un lieu d’épanouissement …

Au-delà des apprentissages intellectuels et culturels classiques, nous souhaitons que l’école soit un lieu où l’enfant découvre ce qu’il a la « possibilité d’être » … et non « l’obligation d’être » que la misère familiale peut lui imposer. Il y découvre des droits et des devoirs mais explore aussi ses propres potentialités afin de pouvoir faire des choix éclairés pour son avenir.

  • La santé reste une préoccupation majeure

Même si les choses s’améliorent avec le temps, la santé est un domaine dans lequel il y a toujours à faire. La nutrition reste précaire pour beaucoup d’enfants et quand elle est chroniquement insuffisante ou déséquilibrée, elle génère différentes pathologies impactant la croissance de l’enfant. De plus des maladies non détectées à la naissance sont parfois identifiées ultérieurement. Nous facilitons l’accès aux soins et les prenons en charge financièrement car la santé est toujours un luxe pour les plus pauvres.

  • L’employabilité future des enfants est un investissement prioritaire

Construire l’avenir de ces enfants est notre raison d’être.

Dans nos projets nous investissons dans les domaines clés qui sont et seront des discriminants lors de leurs futures recherches d’emploi. Ainsi l’informatique, l’anglais et l’écologie sont des enjeux majeurs dans l’éducation des enfants, compte tenu de leur omniprésence dans la vie quotidienne et des critères de sélection dans les recrutements. Autant de formations auxquelles la pauvreté ne leur donnerait pas accès.

Quel besoin avez-vous identifié au Cambodge ?

Il ne faut pas oublier, en Asie, le pouvoir que les parents gardent tout au long de leur vie sur les enfants. Je pense qu’il faut toujours plus communiquer avec eux, leur expliquer ce que nous faisons, les valeurs qui nous animent et dont nous parlons aux élèves …

Sinon le risque est grand de faire fonctionner deux univers en parallèle, la famille et l’école, et que l’un ne soit pas le relais de l’autre …

Il faut donc être très inclusifs au niveau des parents : partager le projet pédagogique et les impliquer dans le suivi autant qu’ils le peuvent, afin que l’école ne soit pas uniquement un lieu qui leur évite d’avoir à nourrir les enfants ou de les garder pendant qu’ils travaillent. Les travailleurs sociaux cambodgiens et les volontaires font un travail extraordinaire en ce sens. Il faut continuer et amplifier afin d’éviter des déscolarisations ultérieures car l’enfant reste trop souvent une variable d’ajustement de l’économie familiale.

Quels sont les projets dans lesquels vous investissez ?

Chaque âge à ses besoins spécifiques, nous avons donc opté pour créer et mettre en place des projets pour chaque tranche d’âge, de la petite enfance à la formation professionnelle.

Avec Bayon Education & Development, ONG cambodgienne, avec qui nous avons signé un partenariat et qui suit localement ces projets, nous gérons une classe maternelle pour les enfants défavorisés de la région des temples d’Angkor, nous investissons dans des cours d’informatique et d’anglais ainsi que des soins dentaires pour des élèves de primaire. Nous avons également créé un foyer pour jeunes filles du collège et lycée dans le nord du pays afin d’éviter qu’elles ne quittent l’école et nous soutenons différents programmes de formation professionnelle dans l’hôtellerie, l’agroécologie et la pâtisserie.

Autant de projets de « cœur » motivés par l’éternel sourire de tous ces enfants …